Si vous étiez un animal, vous seriez ?
Une tortue. À la fois curieuse, soucieuse et craintive de l’environnement.
Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
La possibilité d’éventuelles rencontres et découvertes qui m‘enrichiront et donneront davantage de raison à l‘existence. L’espoir d’un meilleur, mieux qu’hier, le passé et d’un futur riche en évolution.
Qu’est-ce qui vous répugne le plus ?
La superficialité. Le conformisme. L’hypocrisie.
Qu’est-ce qui vous fait sourire ?
Ce qui me répugne et peut également me faire pleurer tant c’est absurde et, parfois, frustrant.
Quelles sont les personnalités que vous ne supportez pas ?
Les superficiels. Les personnes qui se conforment trop aisément. Les hypocrites.
Avec qui aimeriez-vous passer une nuit ?
Avec qui ? Je ne sais ! Mais PAS avec n’importe QUI !!
Quel est votre pire souvenir ?
De pire ? Je ne pense qu’il y en ait. En revanche, de mauvais, plus douloureux, il y en a. Plus d’un. Mais le passé étant ce qu’il est, j’ai su aller de l’avant et les mauvais souvenirs restent enfouis, et donc présents, quelque part dans un coin de la tête ou/et encore du cœur. L’on saura que la blessure morale est moins évidente à guérir que celle qui se fait physique. Mais les blessures du passé surmontées deviennent notre force. Un mal pour un bien. Un pire pour un mieux.
Comment avez-vous commencé votre art ?
Je n’ai pas la prétention de dire ou écrire, ni même avancer que je fais dans l’art. Je me prête à des activités diverses, dont manuelles, qui me divertissent et deviennent un moyen de communication autres que les oral et écrit. Je m’inspire puis créais. Depuis mon enfance, j’apprécie de gribouiller et écrire. A 8 ans, j’écrivais des nouvelles fantastiques et enfantines illustrées. Au fil des ans, je me suis ouverte à bien d’autres activités.
...
Je suis juste l’un, l’une parmi tant d’autres. Sans prétention, avec quelques loisirs et peut-être passions à mon actif sans pour autant entrer dans les fanatisme et addiction. J’apprécie le partage, l’échange de manière réelle comme virtuelle. Que les rencontres et découvertes soient bonnes ou mauvaises, il me semble qu’elles sont toutes bonnes à prendre. Elles nous rendent plus fort, en tant qu’Homme, si l’on en ressort indemne ou pas trop abîmé. Aussi, j’ai pour philosophie « Le relativisme » ; sans cela, nous ne saurions avancer.